Le blog des 700 ans de La Bastide Clairence

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dimanche 2 septembre 2012

Pinceaux vs Pixels

Le jury du concours Pinceaux vs Pixels, organisé en partenariat avec Arteis et Images Photos Bayonne a désigné ses vainqueurs fin août : Didier Crochat pour son tableau « Ne perdons pas la mémoire » et Bernard Doutre pour sa photo Neguko Eguzki.
Leurs œuvres seront exposées à l’Office du Tourisme du 15 au 30 septembre pendant le Festival Arts 700 et chacun bénéficiera d’un bon d’achat chez Arteis et Images Photo Bayonne.

Bernard Doutre - Neguko Eguzki
Bernard Doutre est un amateur autodidacte passionné par la photographie pour fixer la vie de famille et les paysages qui le touchent. Passé du Zeiss Ikon au format 6x9 à soufflet... au Canon numérique il a su garder toute sa sensibilité et rester à l’affut des lumières comme en témoigne la photographie primée.
Photo  «  Neguko eguzdi »  soleil d’hiver : « Un matin d’hiver, la neige tombée la nuit a purifié l’air, le soleil rasant éclaire le village dans son écrin. La nature a planté le décor, il ne reste plus qu’à appuyer sur le déclencheur. »

Didier Crochat - Ne perdons pas la mémoire
Didier Crochat a fait des études en architecture et dessin publicitaire qui lui ont permis d’acquérir de solides bases que l’on retrouve au fil de ses œuvres. Il a fait de nombreuses expositions individuelles dans le sud ouest (Musée des Beaux Arts de Bordeaux, Pavillon d’architecture à Pau, Exposition permanente Art5 à Pau ) et reçu divers premiers prix dans le sud ouest, dont récemment le 1er prix régional Couleurs d’Aquitaine technique mixte.
Son tableau « Ne perdons pas la mémoire »
Sur fonds de création de la terre, nous trouvons une vie humaine. Sur les terres de La Bastide. «  J’ai voulu représenter sur ce tableau, sur fond de fusion de la terre, une vie de La Bastide par des superpositions de clichés, qui ne sont que des instants. Ce ne sont que des bribes, ou l’on se perd entre le passé et le présent, mais qui donne une profondeur, un sens à la vie. Si le trait est essentiel sur ce tableau, il lui donne l’âme, un cheminement dans le fil du temps, qui par sa création ne laisse personne indifférent. »